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Épisode
1 juin 2025 - 30817009
AVERTISSEMENT : Cet épisode parle de violences sexuelles et aborde des sujets très difficiles à entendre. Pour cet épisode de rentrée, Mathilde, 29 ans – autrice entre autres de Sans patriarcat, créatrice du compte instagram Without Patriarchy, et également sorcière – prend la parole sur ses pathologies : la vulvodynie et...
AVERTISSEMENT : Cet épisode parle de violences sexuelles et aborde des sujets très difficiles à entendre. Pour cet épisode de rentrée, Mathilde, 29 ans – autrice entre autres de Sans patriarcat, créatrice du compte instagram Without Patriarchy, et également sorcière – prend la parole sur ses pathologies : la vulvodynie et la vestibulite. Méconnues par les médecins, et pourtant répandues, elles sont très douloureuses. Avant de la rencontrer, aucune de nous deux ne connaissait ces pathologies. Parfois, et trop souvent, comme c’est le cas pour Mathilde, elles résultent d’agressions sexuelles. Au croisement d’un double phénomène : d’une part, la méconnaissance des corps sexisés, et, d’autre part, la silenciation des victimes de violences sexuelles, le cas de Mathilde est au milieu d’une double invisibilisation systémique. Dans son témoignage, elle évoque sa nécessité à s’émanciper de la justice des hommes et, dans la suite de sa réflexion, propose également de sortir de la médecine pensée par et pour les hommes dyacishet, en s’inspirant de nos ancêtres les sorcières : guérisseuses, accoucheuses, connaisseuses des plantes et de l’appareil génital. Pour se soigner, doit-on s’émanciper de la médecine des hommes ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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AVERTISSEMENT : Cet épisode parle de violences sexuelles et aborde des sujets très difficiles à entendre.
Pour cet épisode de rentrée, Mathilde, 29 ans – autrice entre autres de Sans patriarcat, créatrice du compte instagram Without Patriarchy, et également sorcière – prend la parole sur ses pathologies : la vulvodynie et la vestibulite. Méconnues par les médecins, et pourtant répandues, elles sont très douloureuses. Avant de la rencontrer, aucune de nous deux ne connaissait ces pathologies. Parfois, et trop souvent, comme c’est le cas pour Mathilde, elles résultent d’agressions sexuelles. Au croisement d’un double phénomène : d’une part, la méconnaissance des corps sexisés, et, d’autre part, la silenciation des victimes de violences sexuelles, le cas de Mathilde est au milieu d’une double invisibilisation systémique. Dans son témoignage, elle évoque sa nécessité à s’émanciper de la justice des hommes et, dans la suite de sa réflexion, propose également de sortir de la médecine pensée par et pour les hommes dyacishet, en s’inspirant de nos ancêtres les sorcières : guérisseuses, accoucheuses, connaisseuses des plantes et de l’appareil génital. Pour se soigner, doit-on s’émanciper de la médecine des hommes ?
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas de transcription pour le moment.
Soizic & Lola
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