Demain Le Congo

« Aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous limiter à ce que nous estimons être l'héritage occidental et ne pas nous référer à notre héritage à nous, un héritage qui a quand même permis un vivre-ensemble normal pendant longtemps. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous échangeons sur la nécessité de créer et développer des collectifs citoyens au Congo et partout dans le monde, comme réponse aux « injonctions » de notre histoire collective.

« Aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous limiter à ce que nous estimons être l'héritage occidental et ne pas nous référer à notre héritage à nous, un héritage qui a quand même permis un vivre-ensemble normal pendant longtemps. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous échangeons sur la nécessité de créer et développer des collectifs citoyens au Congo et partout dans le monde, comme réponse aux « injonctions » de notre histoire collective.

« Si nous prenons notre citoyenneté comme référence, comme dénominateur commun, et que nous définissions notre citoyenneté comme étant le fait de pouvoir participer à l’édification de la cité et à la maîtrise du destin de cette cité, à partir de ce que nous avons comme droits, devoirs et libertés fondamentales, nous sommes repartis !» Réinventer le Congo, c’est refonder l’État congolais, c’est refonder nos relations sur des nouvelles bases, c’est créer les conditions d’une thérapie collective. C’est de tout cela dont nous discutons dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu.

« Si nous prenons notre citoyenneté comme référence, comme dénominateur commun, et que nous définissions notre citoyenneté comme étant le fait de pouvoir participer à l’édification de la cité et à la maîtrise du destin de cette cité, à partir de ce que nous avons comme droits, devoirs et libertés fondamentales, nous sommes repartis !» Réinventer le Congo, c’est refonder l’État congolais, c’est refonder nos relations sur des nouvelles bases, c’est créer les conditions d’une thérapie collective. C’est de tout cela dont nous discutons dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu.

« Le nouveau profil de Congolais est celui d’un être digne, d’un être qui lutte pour le respect de sa dignité en tant que Muntu, en tant que Moto. Et pour y parvenir, il y a tout un socle de valeurs sur lequel cet africain, ce congolais, doit pouvoir se refonder. Ces valeurs sont la solidarité, la dignité, la coopération, la réciprocité. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous abordons un point clé de la réinvention du Congo-Kinshasa, celui de la récréation d’un nouveau type de congolais et du reformatage des relations sociales.

« Le nouveau profil de Congolais est celui d’un être digne, d’un être qui lutte pour le respect de sa dignité en tant que Muntu, en tant que Moto. Et pour y parvenir, il y a tout un socle de valeurs sur lequel cet africain, ce congolais, doit pouvoir se refonder. Ces valeurs sont la solidarité, la dignité, la coopération, la réciprocité. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous abordons un point clé de la réinvention du Congo-Kinshasa, celui de la récréation d’un nouveau type de congolais et du reformatage des relations sociales.

« L'histoire que nous vivons nous incite à critiquer notre naïveté dans l'approche de l'autre, à le connaître en profondeur et à établir notre partenariat en fonction de ce que nous en avons comme connaissance. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous expliquons pourquoi et comment nous devons rompre avec les mécanismes du viol de l’imaginaire, et nous engager dans un changement radical, au niveau indviduel et collectif.

« L'histoire que nous vivons nous incite à critiquer notre naïveté dans l'approche de l'autre, à le connaître en profondeur et à établir notre partenariat en fonction de ce que nous en avons comme connaissance. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous expliquons pourquoi et comment nous devons rompre avec les mécanismes du viol de l’imaginaire, et nous engager dans un changement radical, au niveau indviduel et collectif.

« Ce qu’il faut comprendre, c’est que, si au niveau des convictions morales, intellectuelles et idéologiques, vous ne savez pas résister, on peut vous donner tout l'argent du monde, vous ne ferez rien. Le nerf de la guerre, c'est d'abord la tête et l'esprit. Parce que, comme le dit Antonio Gramsci, quand la tête et l'esprit sont conquis, le reste va suivre. Les bras et les jambes vont suivre. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous échangeons sur l’importance de l’organisation et de la nécessité de maîtriser et combiner le savoir, l’avoir et un certaine éthique.

« Ce qu’il faut comprendre, c’est que, si au niveau des convictions morales, intellectuelles et idéologiques, vous ne savez pas résister, on peut vous donner tout l'argent du monde, vous ne ferez rien. Le nerf de la guerre, c'est d'abord la tête et l'esprit. Parce que, comme le dit Antonio Gramsci, quand la tête et l'esprit sont conquis, le reste va suivre. Les bras et les jambes vont suivre. » Dans cette conversation avec Jean-Pierre Mbelu, nous échangeons sur l’importance de l’organisation et de la nécessité de maîtriser et combiner le savoir, l’avoir et un certaine éthique.