CONTRIBUE

Aujourd'hui, la France vit en surrégime : 485 milliards d'euros de recettes fiscales contre 820 milliards d'euros de dépenses. Ce sont les entreprises qui sont en première ligne 👇🏻 Dans ce nouvel épisode, je vais à la rencontre de Matthieu Hornet, vice-président de l'UE57 (Medef Moselle) et directeur de WEB IDEA. Alors qu'Elon Musk vise Mars et semble réussir ses paris, s'autorise-t-on encore à rêver en France ? Quelles actions concrètes faut-il mener sur 5 ans, 10 ans et 15 ans ? Quels sont les rôles des politiciens VS ceux des entrepreneurs ? Doit-on parler de crise ou de changement de modèle ? Qui aide les entreprises aujourd'hui ? Est-ce le rôle de l'État d'investir dans les entreprises ?

In extremis, il permet à 90 étudiants de passer leurs examens. 10 ans plus tard, ses campus métiers forment 700 étudiants par an 👇🏻 Quand Romain Zéwé débute sa carrière en centre de formation, il n’imagine pas que son employeur supporte des dettes. Si bien qu'en 2014, l'entreprise se trouve en liquidation judiciaire. Dans ce nouvel épisode, Romain Zéwé, fondateur et président du Campus Métier MEWO, nous dévoile : Pourquoi a-t-il cumulé trois activités ; la journée, le soir et le week-end ? Quels défis et victoires a-t-il rencontrés en s'associant avec d'autres entrepreneurs ? Quels sont les problèmes rencontrés dans les métiers dits “sous tension” ? Quelle stratégie a-t-il appliquée pour atteindre 4,5 M€ de chiffre d’affaires annuel ? La philosophie "il n'y a pas de problèmes, que des solutions"

Leur application "made in Lorraine" révolutionne l'accompagnement des enseignants, alors que les outils fournis par l'Éducation nationale semblent trop archaïques. Dans ce nouvel épisode, Thibault Vigouroux, fondateur du logiciel Teetsh, nous dévoile : Comment a-t-il réussi à atteindre 120 000 inscriptions en se concentrant principalement sur sa communauté ? Quelles étapes a-t-il suivies pour développer un logiciel en partant de zéro alors qu'il travaillait encore ? Aujourd’hui, à quelles contraintes font face les enseignants français ? Comment Marie-Laure, professeure des écoles, a accompagné Thibault dans son projet ?

Ce n'est pas une entreprise "tech" mais sa croissance côtoie celle des plus grandes start-ups parisiennes. Dans ce nouvel épisode, Julien Tonon, directeur du garage Tonon, nous dévoile : Le service client "tout-en-un" qui a permis à la famille Tonon d'atteindre 50 M€ de CA en 2023. 6 heures face aux flammes : le dépannage autoroutier le plus impressionnant qu'il ait vécu. Pourquoi avoir acheté une entreprise avec 400 k€ de dettes en pleine crise du Covid ? L’avenir du thermique face au "tout électrique".

Les mêmes personnes lui ayant dit “c’est impossible” lui achètent aujourd’hui son produit. Dans ce nouvel épisode, Aurélien Stoky, fondateur de l’entreprise en hypercroissance HoliMaker, nous dévoile : Pourquoi a-t-il refusé des salaires à 6 000 €, alors qu’il était encore au RSA ? Quels risques faut-il prendre pour innover dans un secteur de “géants” comme l’industrie ? Comment gère-t-il l'hypercroissance actuelle après avoir attendu 3 ans pour vendre sa première machine ? Sa stratégie pour exporter dans 29 pays à travers le monde. Quels sont ses conseils pour les entrepreneurs qui se lancent ?

Issu d'une famille modeste, il ne se destine pas à diriger une banque d'affaire. Mais son audace et des événements clés redistribuent les cartes... Dans ce nouvel épisode, Djilali Khordj, fondateur et président du Groupe Poncelet, nous dévoile La raison qui le pousse à quitter son travail avant d'avoir obtenu son diplôme d'expert comptable. Ses 3 conseils pour réussir son entreprise, après en avoir accompagné plus d'une centaine. La vraie force de s'associer avec des "A Players" : comment s'en sert-il pour faire décoller le Groupe Poncelet ? Sa stratégie pour atteindre 5 million d'€ de CA dès 2028. Pourquoi investir 4 millions d'€ dans un bâtiment historique et dédier 350 m² au bien-être de ses employés ?

Dans ce premier épisode, David Arslan, fondateur et président de PFF Façade, nous partage son parcours inspirant. Parti de rien, il a réussi à : Mettre en valeur les métiers du BTP en luttant pour la reconnaissance officielle du métier de façadier. Susciter l'envie de réussir chez les jeunes en créant la première école de façadier en France. Répondre aux enjeux climatiques et économiques en aidant les foyers à économiser jusqu'à 50 % sur leurs dépenses énergétiques. Inspirer les futures générations, indépendamment de leurs origines.