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Épisode
12 mai 2025 - 40min
Le 11 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Macron, sous couvert de paix, orchestre une stratégie de guerre par procuration, en sabotant tout plan de paix et en instrumentalisant l’Ukraine pour servir l’agenda occidental, sur GPTV !Macron en stratège de guerre camoufléEmmanuel Macron se présente comme faiseur de paix, mais...
Le 11 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Macron, sous couvert de paix, orchestre une stratégie de guerre par procuration, en sabotant tout plan de paix et en instrumentalisant l’Ukraine pour servir l’agenda occidental, sur GPTV !Macron en stratège de guerre camoufléEmmanuel Macron se présente comme faiseur de paix, mais ses actes relèvent d’une stratégie de confrontation. Le sommet sur l’Ukraine, prétendument diplomatique, vise surtout à affirmer l’alignement français sur l’OTAN et à renforcer l’aide militaire à Kiev. Le ton est offensif : il faut vaincre la Russie, non négocier.La France franchit un cap : livraisons d’armes lourdes, présence de formateurs militaires. Macron sort du cadre humanitaire pour mener une guerre par procuration. Ce double discours masque une militarisation active de l’Europe sous rhétorique pacifique.Macron cherche à se poser en leader continental. Mais son projet repose sur l’épuisement de la Russie, au mépris de la paix. L’Ukraine devient un terrain d’expérimentation pour une ambition impériale européenne.Un tribunal pour condamner, pas pour jugerLe tribunal spécial voulu par Bruxelles et Paris vise à criminaliser la Russie dans son ensemble. Ce n’est pas un outil de justice, mais un instrument politique. Il n’examinera pas les faits : il validera une version occidentale du conflit.Cette approche nie la complexité historique. Aucun mot sur l’élargissement de l’OTAN, les accords de Minsk, ou le rôle américain dans le Donbass. Le but : figer une mémoire unilatérale, construire une vérité judiciaire imposée.Ce tribunal devient un levier idéologique. Appeler au dialogue avec Moscou expose à l’accusation de complicité. Le droit est subverti, transformé en arme contre la dissidence. L’Europe glisse vers une logique d’épuration politique.Loin de pacifier, cette justice radicalise. Elle rend impossible tout compromis. En verrouillant l’avenir, elle enferme la guerre dans une impasse juridique.Une guerre menée pour l’agenda occidentalLe sommet européen dirigé par Macron refuse toute initiative de paix hors bloc occidental. Chine, Brésil, Afrique : leurs propositions sont disqualifiées. L’objectif est clair : pas de paix, mais la victoire, par l’usure de Moscou.Cette posture impose un modèle unipolaire, niant toute alternative. L’Ukraine devient le champ de bataille idéologique entre un ordre occidental figé et une multipolarité naissante.L’Union européenne mène une guerre externalisée, sacrifiant l’Ukraine pour préserver son rôle stratégique. Les pertes humaines sont secondaires face aux intérêts géopolitiques.Macron parie sur une opinion européenne docile, tant que la guerre reste lointaine. Derrière le discours humanitaire, il s’agit de souder l’Europe autour d’un ennemi commun et d’imposer une unité politique par le conflit.L’internationalisation du conflit s’accélère. Alliances asiatiques, tensions maritimes, implication américaine : le risque d’escalade est réel. Macron ne prépare pas la paix, mais la généralisation du chaos.Support the showNe vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.https://geopolitique-profonde.com/
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Le 11 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Macron, sous couvert de paix, orchestre une stratégie de guerre par procuration, en sabotant tout plan de paix et en instrumentalisant l’Ukraine pour servir l’agenda occidental, sur GPTV !
Macron en stratège de guerre camouflé
Emmanuel Macron se présente comme faiseur de paix, mais ses actes relèvent d’une stratégie de confrontation. Le sommet sur l’Ukraine, prétendument diplomatique, vise surtout à affirmer l’alignement français sur l’OTAN et à renforcer l’aide militaire à Kiev. Le ton est offensif : il faut vaincre la Russie, non négocier.
La France franchit un cap : livraisons d’armes lourdes, présence de formateurs militaires. Macron sort du cadre humanitaire pour mener une guerre par procuration. Ce double discours masque une militarisation active de l’Europe sous rhétorique pacifique.
Macron cherche à se poser en leader continental. Mais son projet repose sur l’épuisement de la Russie, au mépris de la paix. L’Ukraine devient un terrain d’expérimentation pour une ambition impériale européenne.
Un tribunal pour condamner, pas pour juger
Le tribunal spécial voulu par Bruxelles et Paris vise à criminaliser la Russie dans son ensemble. Ce n’est pas un outil de justice, mais un instrument politique. Il n’examinera pas les faits : il validera une version occidentale du conflit.
Cette approche nie la complexité historique. Aucun mot sur l’élargissement de l’OTAN, les accords de Minsk, ou le rôle américain dans le Donbass. Le but : figer une mémoire unilatérale, construire une vérité judiciaire imposée.
Ce tribunal devient un levier idéologique. Appeler au dialogue avec Moscou expose à l’accusation de complicité. Le droit est subverti, transformé en arme contre la dissidence. L’Europe glisse vers une logique d’épuration politique.
Loin de pacifier, cette justice radicalise. Elle rend impossible tout compromis. En verrouillant l’avenir, elle enferme la guerre dans une impasse juridique.
Une guerre menée pour l’agenda occidental
Le sommet européen dirigé par Macron refuse toute initiative de paix hors bloc occidental. Chine, Brésil, Afrique : leurs propositions sont disqualifiées. L’objectif est clair : pas de paix, mais la victoire, par l’usure de Moscou.
Cette posture impose un modèle unipolaire, niant toute alternative. L’Ukraine devient le champ de bataille idéologique entre un ordre occidental figé et une multipolarité naissante.
L’Union européenne mène une guerre externalisée, sacrifiant l’Ukraine pour préserver son rôle stratégique. Les pertes humaines sont secondaires face aux intérêts géopolitiques.
Macron parie sur une opinion européenne docile, tant que la guerre reste lointaine. Derrière le discours humanitaire, il s’agit de souder l’Europe autour d’un ennemi commun et d’imposer une unité politique par le conflit.
L’internationalisation du conflit s’accélère. Alliances asiatiques, tensions maritimes, implication américaine : le risque d’escalade est réel. Macron ne prépare pas la paix, mais la généralisation du chaos.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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