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Épisode
21 janvier 2025 - 31min
Aujourd’hui, je vous partage une mésaventure pas franchement chouette qui m’est arrivée il y a quelques jours. Rien de dramatique, heureusement — même si ça aurait pu l'être — et pour ça, je me sens infiniment reconnaissante. Mais cet accident m’a laissée avec bien plus qu’une grosse frayeur, il m’a...
Aujourd’hui, je vous partage une mésaventure pas franchement chouette qui m’est arrivée il y a quelques jours. Rien de dramatique, heureusement — même si ça aurait pu l'être — et pour ça, je me sens infiniment reconnaissante. Mais cet accident m’a laissée avec bien plus qu’une grosse frayeur, il m’a apporté une vraie remise en question.Je me suis retrouvée face à une habitude (bien) ancrée, presque automatique : tout garder pour moi. Pourquoi est-ce que je m’obstine à encaisser seule ? À me débrouiller dans mon coin, plutôt que de parler, de demander un coup de main ou même un peu de réconfort ? Par peur de déranger ? Par envie de protéger les autres, comme si leur sérénité comptait plus que ma douleur ? Ou est-ce simplement ce (vieux) réflexe de croire que je dois tout gérer seule, coûte que coûte ?Bref je partage avec vous ma réalisation : parfois, je suis ma meilleure amie, capable de m’encourager, de me soutenir avec douceur. Et parfois aussi, je suis aussi ma pire ennemie, incapable de m’offrir la moindre indulgence. Un équilibre fragile, qui bascule (souvent) du mauvais côté, mais que j’essaie d’apprivoiser 🧘🏻J’espère que mes mots résonneront chez celles et ceux qui, comme moi, ont tendance à garder leurs tempêtes intérieures pour eux, sans trop penser qu’ils pourraient simplement les partager. Alors si cet épisode peut rappeler qu’on a tous le droit de demander de l’aide, il aura rempli son rôle.Sur ce les amis proches, je vous dis à très vite, et surtout, restez bienveillants avec vous-mêmes et faites grandement attention à vous 🫶🏻 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Aujourd’hui, je vous partage une mésaventure pas franchement chouette qui m’est arrivée il y a quelques jours. Rien de dramatique, heureusement — même si ça aurait pu l'être — et pour ça, je me sens infiniment reconnaissante. Mais cet accident m’a laissée avec bien plus qu’une grosse frayeur, il m’a apporté une vraie remise en question.
Je me suis retrouvée face à une habitude (bien) ancrée, presque automatique : tout garder pour moi. Pourquoi est-ce que je m’obstine à encaisser seule ? À me débrouiller dans mon coin, plutôt que de parler, de demander un coup de main ou même un peu de réconfort ? Par peur de déranger ? Par envie de protéger les autres, comme si leur sérénité comptait plus que ma douleur ? Ou est-ce simplement ce (vieux) réflexe de croire que je dois tout gérer seule, coûte que coûte ?
Bref je partage avec vous ma réalisation : parfois, je suis ma meilleure amie, capable de m’encourager, de me soutenir avec douceur. Et parfois aussi, je suis aussi ma pire ennemie, incapable de m’offrir la moindre indulgence. Un équilibre fragile, qui bascule (souvent) du mauvais côté, mais que j’essaie d’apprivoiser 🧘🏻
J’espère que mes mots résonneront chez celles et ceux qui, comme moi, ont tendance à garder leurs tempêtes intérieures pour eux, sans trop penser qu’ils pourraient simplement les partager. Alors si cet épisode peut rappeler qu’on a tous le droit de demander de l’aide, il aura rempli son rôle.
Sur ce les amis proches, je vous dis à très vite, et surtout, restez bienveillants avec vous-mêmes et faites grandement attention à vous 🫶🏻
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Victorine Pierru
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