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Épisode
26 avril 2025 - 8min
Battistello Caracciolo (1578-1635)Noli me tangere, 1618-1620Musée du Palazzo Pretorio, PratoDe la cinquantaine de" Noli Me Tangere" peint pendant l’âge d’or de la chrétienté, celui de Battistello Caracciolo est un des plus troublants et des plus passionnés, avec dans une moindre mesure, ceux du Titien et de Hans Baldung Grien, (visibles...
Battistello Caracciolo (1578-1635)Noli me tangere, 1618-1620Musée du Palazzo Pretorio, PratoDe la cinquantaine de" Noli Me Tangere" peint pendant l’âge d’or de la chrétienté, celui de Battistello Caracciolo est un des plus troublants et des plus passionnés, avec dans une moindre mesure, ceux du Titien et de Hans Baldung Grien, (visibles en lien complémentaire à ce podcast).Ils représentent tous un Christ au sortir du tombeau, mi-nu partiellement débarrassé de son linceul c’est à dire de sa condition humaine de mortel, tout prêt à embrasser sa condition divine, dans une scène d’adieu avec Myriam de Magdala (Marie Madeleine pour les intimes) que certains érudits considèrent comme la compagne du Christ. Hypothèse autant déniée que décriée...Elle, de son côté, sur ce tableau en tout cas, ne semble vouloir toucher qu’une seule partie de son corps, plutôt située dans le bas d’ailleurs, comme si elle voulait absolument abonder dans le sens des érudits cités plus haut. Une démarche sensuelle très perceptible dans ce tableau et à laquelle quoi le Christ répond, avant qu’elle ne parvienne à ses fins, par le célèbre injonction : « Noli me tangere « qui signifie donc « Ne me touche pas « traduit aussi par « Ne me retiens pas « , avant d’ajouter « car Je ne suis pas encore monté vers mon père , vers mon Dieu et Votre Dieu. Et de conclure. « Va trouver mes frères et dis leur ce que tu as vu » .... Pou connaitre la suite écoutez ce podcast
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Battistello Caracciolo (1578-1635)
Noli me tangere, 1618-1620
Musée du Palazzo Pretorio, Prato
De la cinquantaine de" Noli Me Tangere" peint pendant l’âge d’or de la chrétienté, celui de Battistello Caracciolo est un des plus troublants et des plus passionnés, avec dans une moindre mesure, ceux du Titien et de Hans Baldung Grien, (visibles en lien complémentaire à ce podcast).
Ils représentent tous un Christ au sortir du tombeau, mi-nu partiellement débarrassé de son linceul c’est à dire de sa condition humaine de mortel, tout prêt à embrasser sa condition divine, dans une scène d’adieu avec Myriam de Magdala (Marie Madeleine pour les intimes) que certains érudits considèrent comme la compagne du Christ. Hypothèse autant déniée que décriée...
Elle, de son côté, sur ce tableau en tout cas, ne semble vouloir toucher qu’une seule partie de son corps, plutôt située dans le bas d’ailleurs, comme si elle voulait absolument abonder dans le sens des érudits cités plus haut. Une démarche sensuelle très perceptible dans ce tableau et à laquelle quoi le Christ répond, avant qu’elle ne parvienne à ses fins, par le célèbre injonction : « Noli me tangere « qui signifie donc « Ne me touche pas « traduit aussi par « Ne me retiens pas « , avant d’ajouter « car Je ne suis pas encore monté vers mon père , vers mon Dieu et Votre Dieu. Et de conclure. « Va trouver mes frères et dis leur ce que tu as vu » ....
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