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Épisode
29 septembre 2025 - 10min
Le 28 septembre 2025 à 17h, Mike Borowski partait à la rencontre des Français pour recueillir leurs opinions sur l’immigration et les impôts. Leurs réponses brutes contredisaient violemment le discours officiel, sur GPTV Investigation.Réactions immédiates et colère diffuse« Comment faire sortir Macron ? » C’est la question lancée aux passants,...
Le 28 septembre 2025 à 17h, Mike Borowski partait à la rencontre des Français pour recueillir leurs opinions sur l’immigration et les impôts. Leurs réponses brutes contredisaient violemment le discours officiel, sur GPTV Investigation.Réactions immédiates et colère diffuse« Comment faire sortir Macron ? » C’est la question lancée aux passants, revenue avec force dans les réponses. L’émotion est sèche, viscérale : « ce type est un malade mental », « les élections sont truquées », « il reste la force ». Ces propos révèlent un double constat : l’échec des moyens institutionnels et, chez certains, la légitimation de solutions plus dures. Pourtant, aucun projet collectif structuré ne se dégage. Des allusions à un « coup de force » apparaissent, sans clarté ni organisation. Cette exaspération varie selon les profils : rage froide chez des retraités, révolte vive chez des jeunes, lassitude chez des salariés. Tous expriment un besoin urgent de changement, sans espoir dans les canaux traditionnels, ni alternative crédible et partagée.Scénarios évoqués et limites du recours à la violencePlusieurs scénarios surgissent : certains évoquent la destitution ou une pression électorale renforcée. D’autres parlent de violence, parfois avec brutalité — « un Ravaillac », « une violence inévitable ». Ces propos traduisent une frustration plus qu’une stratégie réelle, un fantasme de rupture face à un blocage perçu comme total. Pourtant, cette violence n’est pas sans conscience des risques : des passants soulignent que le chaos serait difficile à contenir, que l’instabilité politique, économique et sociale serait le prix d’un coup de force. La tentation radicale cohabite donc avec une lucidité inquiète, qui freine les élans les plus extrêmes.Formes non-violentes et frontières du consentement populaireMalgré la dureté de certains propos, de nombreuses personnes envisagent des voies non violentes ou mixtes : mobilisations électorales, occupations ciblées, pression sur les députés, actions économiques. Ces voix insistent sur la nécessité d’un basculement de légitimité, non d’un choc frontal. L’idée d’un front citoyen large, rassemblant syndicats, collectifs et électeurs, revient comme seul moyen viable de sortie. Les réponses évoquent des leviers concrets :mobilisation durable dans les urnes et la ruecoordination entre syndicats et mouvements citoyensstratégie médiatique et juridiqueCes éléments dessinent un autre horizon : pas une explosion, mais une pression continue, organisée, légitime. Si la colère peut provoquer une étincelle, la sortie du pouvoir, elle, exige selon ces passants un travail de longue haleine, ancré dans la légalité, la coordination et la construction d’un projet partagé.Support the showNe vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.https://geopolitique-profonde.com/
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Le 28 septembre 2025 à 17h, Mike Borowski partait à la rencontre des Français pour recueillir leurs opinions sur l’immigration et les impôts. Leurs réponses brutes contredisaient violemment le discours officiel, sur GPTV Investigation.
Réactions immédiates et colère diffuse
« Comment faire sortir Macron ? » C’est la question lancée aux passants, revenue avec force dans les réponses. L’émotion est sèche, viscérale : « ce type est un malade mental », « les élections sont truquées », « il reste la force ». Ces propos révèlent un double constat : l’échec des moyens institutionnels et, chez certains, la légitimation de solutions plus dures. Pourtant, aucun projet collectif structuré ne se dégage. Des allusions à un « coup de force » apparaissent, sans clarté ni organisation. Cette exaspération varie selon les profils : rage froide chez des retraités, révolte vive chez des jeunes, lassitude chez des salariés. Tous expriment un besoin urgent de changement, sans espoir dans les canaux traditionnels, ni alternative crédible et partagée.
Scénarios évoqués et limites du recours à la violence
Plusieurs scénarios surgissent : certains évoquent la destitution ou une pression électorale renforcée. D’autres parlent de violence, parfois avec brutalité — « un Ravaillac », « une violence inévitable ». Ces propos traduisent une frustration plus qu’une stratégie réelle, un fantasme de rupture face à un blocage perçu comme total. Pourtant, cette violence n’est pas sans conscience des risques : des passants soulignent que le chaos serait difficile à contenir, que l’instabilité politique, économique et sociale serait le prix d’un coup de force. La tentation radicale cohabite donc avec une lucidité inquiète, qui freine les élans les plus extrêmes.
Formes non-violentes et frontières du consentement populaire
Malgré la dureté de certains propos, de nombreuses personnes envisagent des voies non violentes ou mixtes : mobilisations électorales, occupations ciblées, pression sur les députés, actions économiques. Ces voix insistent sur la nécessité d’un basculement de légitimité, non d’un choc frontal. L’idée d’un front citoyen large, rassemblant syndicats, collectifs et électeurs, revient comme seul moyen viable de sortie. Les réponses évoquent des leviers concrets :
Ces éléments dessinent un autre horizon : pas une explosion, mais une pression continue, organisée, légitime. Si la colère peut provoquer une étincelle, la sortie du pouvoir, elle, exige selon ces passants un travail de longue haleine, ancré dans la légalité, la coordination et la construction d’un projet partagé.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
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Franck Pengam
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