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Épisode
27 juin 2025 - 17min
Le 26 juin 2025, Mickaël Lelièvre tendait le micro de GPTV Investigation dans les rues de France : Israël, Iran, guerre mondiale, soumission à Washington… et si les Français voyaient plus clair que leurs dirigeants ?Une guerre mondiale ? Les Français n’ont plus de doutesDans la rue, le constat était...
Le 26 juin 2025, Mickaël Lelièvre tendait le micro de GPTV Investigation dans les rues de France : Israël, Iran, guerre mondiale, soumission à Washington… et si les Français voyaient plus clair que leurs dirigeants ?Une guerre mondiale ? Les Français n’ont plus de doutesDans la rue, le constat était brutal : la guerre n’apparaissait plus comme un scénario lointain. Le conflit entre Israël et l’Iran agissait comme un catalyseur : le moindre dérapage pouvait provoquer un embrasement mondial. La menace d’une troisième guerre mondiale était perçue avec gravité, sans dramatisation. Ce n’était plus une peur irrationnelle mais une hypothèse crédible.L’inquiétude était générale. Peu de confiance dans la capacité des dirigeants à désamorcer le conflit. Les États-Unis soufflaient sur les braises, Israël ripostait violemment, l’Iran menaçait toute une région. La France, pourtant militairement en retrait, serait immédiatement touchée : inflation, risques terroristes, crise migratoire. Les Français le sentaient : cette guerre ne resterait pas “là-bas”.Un rejet clair de l’alignement françaisLe rejet de la politique étrangère française était net. “On suit comme des larbins”, disait un passant. L’alignement sur les États-Unis et Israël était vécu comme une trahison. Pour beaucoup, la France n’avait plus de voix propre, plus de diplomatie indépendante, seulement une obéissance à l’OTAN et Washington.“Pas un euro, pas un soldat” : une phrase récurrente, perçue comme une ligne rouge. Les Français refusaient tout engagement militaire, encore marqués par les fiascos en Irak, Afghanistan ou Libye. Ces guerres menées au nom des “valeurs” avaient semé chaos, exode et attentats. Plus personne n’y croyait.Macron, le chaos comme stratégie ?Une idée dérangeante circulait : Emmanuel Macron pourrait tirer profit d’un grand conflit. Impopulaire, il aurait intérêt à instaurer un état d’urgence durable, à museler l’opposition, voire suspendre les élections de 2027.Certains parlaient de complotisme, d’autres de lucidité. L’histoire récente montrait que le pouvoir aimait les crises. Macron, vu comme froid et calculateur, pourrait miser sur le chaos pour prolonger sa mainmise. “Un Zelensky à la française”, disait un témoin. “Macron, c’est l’épouvantail national et international”, ajoutait un autre. Le malaise était réel, et profondément politique.Une population en rupture avec le récit officielLa défiance envers les médias était totale. Les Français interrogés ne croyaient plus à l’objectivité journalistique. Ils voyaient une presse alignée, partisane, excessive dans la défense d’Israël, silencieuse sur d’autres exactions. Les mots “propagande” et “manipulation” revenaient sans cesse. Il ne s’agissait plus de simple méfiance, mais d’un rejet radical.Cette rupture s’accompagnait d’une mémoire vivace : Seconde Guerre mondiale, guerres “préventives”, mensonges officiels. Les Français ne voulaient plus être dupes. Les méthodes, discours et profiteurs restaient les mêmes. Car pour eux, la guerre était avant tout un business. “Toujours les mêmes qui en profitent”, résumait un passant. Une lucidité forgée par l’Histoire, qui criait : plus jamais ça.Support the showNe vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.https://geopolitique-profonde.com/
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Le 26 juin 2025, Mickaël Lelièvre tendait le micro de GPTV Investigation dans les rues de France : Israël, Iran, guerre mondiale, soumission à Washington… et si les Français voyaient plus clair que leurs dirigeants ?
Une guerre mondiale ? Les Français n’ont plus de doutes
Dans la rue, le constat était brutal : la guerre n’apparaissait plus comme un scénario lointain. Le conflit entre Israël et l’Iran agissait comme un catalyseur : le moindre dérapage pouvait provoquer un embrasement mondial. La menace d’une troisième guerre mondiale était perçue avec gravité, sans dramatisation. Ce n’était plus une peur irrationnelle mais une hypothèse crédible.
L’inquiétude était générale. Peu de confiance dans la capacité des dirigeants à désamorcer le conflit. Les États-Unis soufflaient sur les braises, Israël ripostait violemment, l’Iran menaçait toute une région. La France, pourtant militairement en retrait, serait immédiatement touchée : inflation, risques terroristes, crise migratoire. Les Français le sentaient : cette guerre ne resterait pas “là-bas”.
Un rejet clair de l’alignement français
Le rejet de la politique étrangère française était net. “On suit comme des larbins”, disait un passant. L’alignement sur les États-Unis et Israël était vécu comme une trahison. Pour beaucoup, la France n’avait plus de voix propre, plus de diplomatie indépendante, seulement une obéissance à l’OTAN et Washington.
“Pas un euro, pas un soldat” : une phrase récurrente, perçue comme une ligne rouge. Les Français refusaient tout engagement militaire, encore marqués par les fiascos en Irak, Afghanistan ou Libye. Ces guerres menées au nom des “valeurs” avaient semé chaos, exode et attentats. Plus personne n’y croyait.
Macron, le chaos comme stratégie ?
Une idée dérangeante circulait : Emmanuel Macron pourrait tirer profit d’un grand conflit. Impopulaire, il aurait intérêt à instaurer un état d’urgence durable, à museler l’opposition, voire suspendre les élections de 2027.
Certains parlaient de complotisme, d’autres de lucidité. L’histoire récente montrait que le pouvoir aimait les crises. Macron, vu comme froid et calculateur, pourrait miser sur le chaos pour prolonger sa mainmise. “Un Zelensky à la française”, disait un témoin. “Macron, c’est l’épouvantail national et international”, ajoutait un autre. Le malaise était réel, et profondément politique.
Une population en rupture avec le récit officiel
La défiance envers les médias était totale. Les Français interrogés ne croyaient plus à l’objectivité journalistique. Ils voyaient une presse alignée, partisane, excessive dans la défense d’Israël, silencieuse sur d’autres exactions. Les mots “propagande” et “manipulation” revenaient sans cesse. Il ne s’agissait plus de simple méfiance, mais d’un rejet radical.
Cette rupture s’accompagnait d’une mémoire vivace : Seconde Guerre mondiale, guerres “préventives”, mensonges officiels. Les Français ne voulaient plus être dupes. Les méthodes, discours et profiteurs restaient les mêmes. Car pour eux, la guerre était avant tout un business. “Toujours les mêmes qui en profitent”, résumait un passant. Une lucidité forgée par l’Histoire, qui criait : plus jamais ça.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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