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Épisode
1 août 2025 - 1min
Le 1er Août 1936, Hitler ouvre les jeux Olympiques à Berlin. Ce 1er août 1936, il fait chaud à Berlin, très chaud, et au stade olympique flambant neuf, plus de cent mille spectateurs se lèvent à l'unisson, l'Allemagne salue son fureur. Ce jour-là, Adolf Hitler ouvre les Jeux Olympiques d'été....
Le 1er Août 1936, Hitler ouvre les jeux Olympiques à Berlin. Ce 1er août 1936, il fait chaud à Berlin, très chaud, et au stade olympique flambant neuf, plus de cent mille spectateurs se lèvent à l'unisson, l'Allemagne salue son fureur. Ce jour-là, Adolf Hitler ouvre les Jeux Olympiques d'été. Il porte un uniforme impeccablement taillé, un regard dur et un objectif clair, montrer au monde la grandeur retrouvée de l'Allemagne nazie. Tout est orchestré, le béton, les drapeaux, les caméras, parce que pour la première fois, les Jeux sont filmés et retransmis en direct dans quelques salles de cinéma allemandes. La réalisatrice, Leni Riefenstahl, capte chaque image, chaque geste, chaque salut dans un ballet de propagande. Évidemment, derrière le vernis, il y a les lois raciales, les opposants envoyés dans des camps, les Juifs évincés des équipes sportives, les illusions diplomatiques. Mais pendant quelques semaines, le monde détourne les yeux. On admire les stades, la mise en scène, l'ordre impeccable, sans voir le piège. Et c'est là qu'un jeune homme va défier ce décor totalitaire et raciste, un noir américain Jesse Owens, quatre médailles d'or sous les yeux d'Hitler, un affront silencieux, mais éclatant. Et quel symbole ! Le 1er août 36, Berlin a brillé, mais ce n'était pas la lumière de l'idéal olympique, c'était celle aveuglante d'un régime prêt à tout pour paraître respectable. Et le monde, pour un temps, a voulu y croire. A demain dans TIME SHOT pour une nouvelle Minute Histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le 1er Août 1936, Hitler ouvre les jeux Olympiques à Berlin.
Ce 1er août 1936, il fait chaud à Berlin, très chaud, et au stade olympique flambant neuf, plus de cent mille spectateurs se lèvent à l'unisson, l'Allemagne salue son fureur. Ce jour-là, Adolf Hitler ouvre les Jeux Olympiques d'été.
Il porte un uniforme impeccablement taillé, un regard dur et un objectif clair, montrer au monde la grandeur retrouvée de l'Allemagne nazie. Tout est orchestré, le béton, les drapeaux, les caméras, parce que pour la première fois, les Jeux sont filmés et retransmis en direct dans quelques salles de cinéma allemandes. La réalisatrice, Leni Riefenstahl, capte chaque image, chaque geste, chaque salut dans un ballet de propagande.
Évidemment, derrière le vernis, il y a les lois raciales, les opposants envoyés dans des camps, les Juifs évincés des équipes sportives, les illusions diplomatiques. Mais pendant quelques semaines, le monde détourne les yeux. On admire les stades, la mise en scène, l'ordre impeccable, sans voir le piège.
Et c'est là qu'un jeune homme va défier ce décor totalitaire et raciste, un noir américain Jesse Owens, quatre médailles d'or sous les yeux d'Hitler, un affront silencieux, mais éclatant. Et quel symbole ! Le 1er août 36, Berlin a brillé, mais ce n'était pas la lumière de l'idéal olympique, c'était celle aveuglante d'un régime prêt à tout pour paraître respectable. Et le monde, pour un temps, a voulu y croire.
A demain dans TIME SHOT pour une nouvelle Minute Histoire.
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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