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Épisode
18 janvier 2025 - 57min
La résistance à l’insuline n’est pas une maladie mais une réaction naturelle et physiologique de notre métabolisme énergétique.Si la pré-résistance à l’insuline est ponctuelle, éventuellement saisonnière, et qu’elle ne s’inscrit pas dans le temps de façon immuable, alors elle n’aura aucun effet négatif autre que celui de stocker plus de...
La résistance à l’insuline n’est pas une maladie mais une réaction naturelle et physiologique de notre métabolisme énergétique.Si la pré-résistance à l’insuline est ponctuelle, éventuellement saisonnière, et qu’elle ne s’inscrit pas dans le temps de façon immuable, alors elle n’aura aucun effet négatif autre que celui de stocker plus de gras que de produire de l’énergie.Et la sensibilité à l’insuline dans ce contexte là revient assez vite.Même un diabète de type 2 est curable (de façon naturelle, sans utiliser de médicaments ou alors de façon combinée au début et dégressive ensuite pour la prise de médicaments) si on sait comment s’y prendre et qu’on a la volonté, le savoir-faire et/ou l’éducation, et de la discipline.Évidemment, le diabète n’est pas une situation métabolique souhaitable, car il emmène avec lui d’autre problématiques importantes. Et plus longtemps il est installé, plus longtemps il crée des dommages et va demander du temps et une approche particulière pour s’occuper aussi du reste.Mais on ne devient pas pré-résistant à l’insuline et encore moins diabétique simplement parce qu’on mange des glucides, et même beaucoup.C’est la combinaison de facteurs précis qui crée le contexte propice à produire de la pré-résistance à l’insuline, qui s’il elle s’inscrit dans le temps, va conduire à une forme dure de résistance à l’insuline (à travers le diabète 2 puisque le diabète 1 est transmis de façon héréditaire et n’est apparemment pas curable).
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La résistance à l’insuline n’est pas une maladie mais une réaction naturelle et physiologique de notre métabolisme énergétique.
Si la pré-résistance à l’insuline est ponctuelle, éventuellement saisonnière, et qu’elle ne s’inscrit pas dans le temps de façon immuable, alors elle n’aura aucun effet négatif autre que celui de stocker plus de gras que de produire de l’énergie.Et la sensibilité à l’insuline dans ce contexte là revient assez vite.
Même un diabète de type 2 est curable (de façon naturelle, sans utiliser de médicaments ou alors de façon combinée au début et dégressive ensuite pour la prise de médicaments) si on sait comment s’y prendre et qu’on a la volonté, le savoir-faire et/ou l’éducation, et de la discipline.
Évidemment, le diabète n’est pas une situation métabolique souhaitable, car il emmène avec lui d’autre problématiques importantes. Et plus longtemps il est installé, plus longtemps il crée des dommages et va demander du temps et une approche particulière pour s’occuper aussi du reste.
Mais on ne devient pas pré-résistant à l’insuline et encore moins diabétique simplement parce qu’on mange des glucides, et même beaucoup.
C’est la combinaison de facteurs précis qui crée le contexte propice à produire de la pré-résistance à l’insuline, qui s’il elle s’inscrit dans le temps, va conduire à une forme dure de résistance à l’insuline (à travers le diabète 2 puisque le diabète 1 est transmis de façon héréditaire et n’est apparemment pas curable).
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Antoine MH
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