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Épisode
6 juillet 2025 - 2h 4min
TRUMP MET L'UE AU PAS DEPUIS LE HAYE Lors du sommet de l’OTAN, Trump a volé la vedette, traité en "patron" par les dirigeants européens. Fini les politesses : il a exigé que l’Europe paie sa part, menaçant de réduire l’engagement US si les 5 % du PIB en défense...
TRUMP MET L'UE AU PAS DEPUIS LE HAYE Lors du sommet de l’OTAN, Trump a volé la vedette, traité en "patron" par les dirigeants européens. Fini les politesses : il a exigé que l’Europe paie sa part, menaçant de réduire l’engagement US si les 5 % du PIB en défense ne sont pas atteints. Les Européens, paniqués, ont juré fidélité, avec Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN, l’appelant même “daddy” pour l’amadouer.Les diplomates européens, en mode "sauvons les meubles", ont multiplié les compliments. Trump, ravi, a déclaré que l’OTAN “n’est pas une arnaque” et que les alliés “aiment leurs pays”. Derrière les sourires, l’Europe sait qu’elle doit aligner les chèques ou risquer l’abandon US. Trump a relégué l’Ukraine au second plan, forçant l’Europe à financer seule les milliards promis à Kiev. Les Européens, coincés, intègrent l’aide à l’Ukraine dans leurs budgets défense pour plaire à Trump, qui s’en lave les mains. Les sanctions contre la Russie ? Oubliées, car Poutine “ne veut pas négocier” selon Trump.Trump dicte les règles, et l’UE, affaiblie par ses divisions et son économie vacillante, n’a d’autre choix que de suivre. C’est l’Amérique d’abord, et l’Europe en second fiddle.ECHANGES POUTINE-MACRON Pour la première fois en trois ans, Macron a appelé Poutine, deux heures de discussion “significative” selon l’Élysée. Objectif ? Obtenir l’avis de Poutine sur l’Iran et mendier des conseils, pendant que Macron promet un vague “soutien” à l’Ukraine. Derrière la façade, Macron a briefé Zelensky sur l’inflexibilité de Poutine, mais n’a rien obtenu de concret. Les observateurs russes se moquent : “Macron n’a aucune crédibilité à Moscou.” Pourquoi Poutine a-t-il répondu ? Parce qu’il sait que la France est désespérée face à la suspension des livraisons d’armes US à l’Ukraine. Des rumeurs circulent sur un marchandage : Macron aurait demandé à Trump d’intervenir auprès de Candace Owens pour taire les rumeurs sur Brigitte Macron, en échange d’une coopération sur l’Ukraine. Poutine, lui, joue l’horloge, laissant l’Occident s’enliser. Poutine, impassible, regarde l’Europe se déchirer et Trump abandonner l’Ukraine. Macron, en quête de légitimité, n’est qu’un pion dans ce grand jeu géopolitique.CANDACE OWENS: LE BOMBE CONSERVATRICEEn février 2025, Trump a personnellement appelé Candace Owens pour lui demander d’arrêter ses attaques contre Brigitte Macron, accusée d’être transgenre. Motif ? Macron aurait conditionné son aide sur l’Ukraine à un silence d’Owens. Elle a temporisé, mais promet de reprendre ses révélations, qualifiant l’affaire de “plus grand scandale politique de l’histoire”. Sa minisérie Becoming Brigitte et son soutien au livre éponyme de Xavier Poussard, bestseller sur Amazon, ont relancé la polémique. Owens affirme détenir des preuves, défiant les menaces judiciaires des Macron. Fidèle à sa ligne anti-establishment, Owens continue de défendre Poutine sur l’Ukraine, répétant que l’OTAN et les US sont responsables du conflit. Elle a qualifié Zelensky d’“acteur homosexuel” et de “criminel” qui “vole l’argent des contribuables américains”. Ses propos, amplifiés par l’ambassade russe, font d’elle une héroïne des cercles pro-Kremlin.Jadis fervente trumpiste, Owens critique désormais sa politique étrangère, notamment sur Israël et l’Ukraine. Elle refuse de se taire, même sous pression, et tease une apparition de Trump sur son podcast comme “carotte” pour sa loyauté. CONCLUSION Trump domine l’UE, la forçant à plier sous ses exigences financières et stratégiques, tandis que Macron, en quête de survie politique, se ridiculise face à Poutine. Candace Owens, elle, dynamite l’establishment avec ses révélations choc et ses positions pro-Russie, incarnant la révolte conservatrice contre le “wokisme” et les élites globalistes. L’Occident vacille, et le rapport de force penche vers Mar-a-Lago et le Kremlin.
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TRUMP MET L'UE AU PAS DEPUIS LE HAYE
Lors du sommet de l’OTAN, Trump a volé la vedette, traité en "patron" par les dirigeants européens. Fini les politesses : il a exigé que l’Europe paie sa part, menaçant de réduire l’engagement US si les 5 % du PIB en défense ne sont pas atteints. Les Européens, paniqués, ont juré fidélité, avec Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN, l’appelant même “daddy” pour l’amadouer.
Les diplomates européens, en mode "sauvons les meubles", ont multiplié les compliments. Trump, ravi, a déclaré que l’OTAN “n’est pas une arnaque” et que les alliés “aiment leurs pays”. Derrière les sourires, l’Europe sait qu’elle doit aligner les chèques ou risquer l’abandon US.
Trump a relégué l’Ukraine au second plan, forçant l’Europe à financer seule les milliards promis à Kiev. Les Européens, coincés, intègrent l’aide à l’Ukraine dans leurs budgets défense pour plaire à Trump, qui s’en lave les mains. Les sanctions contre la Russie ? Oubliées, car Poutine “ne veut pas négocier” selon Trump.
Trump dicte les règles, et l’UE, affaiblie par ses divisions et son économie vacillante, n’a d’autre choix que de suivre. C’est l’Amérique d’abord, et l’Europe en second fiddle.
ECHANGES POUTINE-MACRON
Pour la première fois en trois ans, Macron a appelé Poutine, deux heures de discussion “significative” selon l’Élysée. Objectif ? Obtenir l’avis de Poutine sur l’Iran et mendier des conseils, pendant que Macron promet un vague “soutien” à l’Ukraine.
Derrière la façade, Macron a briefé Zelensky sur l’inflexibilité de Poutine, mais n’a rien obtenu de concret. Les observateurs russes se moquent : “Macron n’a aucune crédibilité à Moscou.” Pourquoi Poutine a-t-il répondu ? Parce qu’il sait que la France est désespérée face à la suspension des livraisons d’armes US à l’Ukraine.
Des rumeurs circulent sur un marchandage : Macron aurait demandé à Trump d’intervenir auprès de Candace Owens pour taire les rumeurs sur Brigitte Macron, en échange d’une coopération sur l’Ukraine. Poutine, lui, joue l’horloge, laissant l’Occident s’enliser.
Poutine, impassible, regarde l’Europe se déchirer et Trump abandonner l’Ukraine. Macron, en quête de légitimité, n’est qu’un pion dans ce grand jeu géopolitique.
CANDACE OWENS: LE BOMBE CONSERVATRICE
En février 2025, Trump a personnellement appelé Candace Owens pour lui demander d’arrêter ses attaques contre Brigitte Macron, accusée d’être transgenre. Motif ? Macron aurait conditionné son aide sur l’Ukraine à un silence d’Owens. Elle a temporisé, mais promet de reprendre ses révélations, qualifiant l’affaire de “plus grand scandale politique de l’histoire”.
Sa minisérie Becoming Brigitte et son soutien au livre éponyme de Xavier Poussard, bestseller sur Amazon, ont relancé la polémique. Owens affirme détenir des preuves, défiant les menaces judiciaires des Macron.
Fidèle à sa ligne anti-establishment, Owens continue de défendre Poutine sur l’Ukraine, répétant que l’OTAN et les US sont responsables du conflit. Elle a qualifié Zelensky d’“acteur homosexuel” et de “criminel” qui “vole l’argent des contribuables américains”. Ses propos, amplifiés par l’ambassade russe, font d’elle une héroïne des cercles pro-Kremlin.
Jadis fervente trumpiste, Owens critique désormais sa politique étrangère, notamment sur Israël et l’Ukraine. Elle refuse de se taire, même sous pression, et tease une apparition de Trump sur son podcast comme “carotte” pour sa loyauté.
CONCLUSION
Trump domine l’UE, la forçant à plier sous ses exigences financières et stratégiques, tandis que Macron, en quête de survie politique, se ridiculise face à Poutine. Candace Owens, elle, dynamite l’establishment avec ses révélations choc et ses positions pro-Russie, incarnant la révolte conservatrice contre le “wokisme” et les élites globalistes. L’Occident vacille, et le rapport de force penche vers Mar-a-Lago et le Kremlin.
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Idriss aberkane
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