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Épisode
22 juin 2025 - 10min
Tout commence par une question inattendue : « Thomas Pesquet, il est sympa ? » Et c’est justement là que ça devient intéressant. Dans cet échange plus personnel, Laurent Ballesta se livre autrement. Il parle de ce qu’il ne montre pas. De ce qu’il regrette parfois. De ses doutes. De ses moteurs. De...
Tout commence par une question inattendue : « Thomas Pesquet, il est sympa ? » Et c’est justement là que ça devient intéressant. Dans cet échange plus personnel, Laurent Ballesta se livre autrement. Il parle de ce qu’il ne montre pas. De ce qu’il regrette parfois. De ses doutes. De ses moteurs. De ce qui le pousse à continuer à raconter le vivant, malgré tout. Il évoque l’épuisement des expéditions, la nécessité d’être sincère, les critiques, les risques — et cette ligne ténue entre l’exploit technique et la beauté des images. Mais aussi son rapport au militantisme, à l’émerveillement, à l’engagement. Dans cet extrait, il n’est plus question d’un requin, d’un mérou ou d’un caisson. Il est question d’un homme, d’un photographe, d’un témoin. Une voix rare, posée, à l’image de ses plongées : profonde et directe. Vous avez aimé ce podcast ? Vous pouvez me laissez 5 étoiles et un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify. Vous pouvez aussi suivre ma chaîne WhatsApp, vous inscrire à ma newsletter (pas plus d’un email par mois, et encore !) et me suivre sur mes réseaux sociaux. Le podcast Photo Storia est disponible sur www.podcast-photo-storia.fr et toutes les plateformes de streaming. Pour poursuivre le voyage, découvrez mes livres photo et tirages d’art sur le site des Éditions Miwa, ou explorez mon travail de photographie documentaire sur mon site personnel.
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Tout commence par une question inattendue : « Thomas Pesquet, il est sympa ? »
Et c’est justement là que ça devient intéressant.
Dans cet échange plus personnel, Laurent Ballesta se livre autrement.
Il parle de ce qu’il ne montre pas. De ce qu’il regrette parfois. De ses doutes. De ses moteurs. De ce qui le pousse à continuer à raconter le vivant, malgré tout.
Il évoque l’épuisement des expéditions, la nécessité d’être sincère, les critiques, les risques — et cette ligne ténue entre l’exploit technique et la beauté des images.
Mais aussi son rapport au militantisme, à l’émerveillement, à l’engagement.
Dans cet extrait, il n’est plus question d’un requin, d’un mérou ou d’un caisson.
Il est question d’un homme, d’un photographe, d’un témoin.
Une voix rare, posée, à l’image de ses plongées : profonde et directe.
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Vous pouvez aussi suivre ma chaîne WhatsApp, vous inscrire à ma newsletter (pas plus d’un email par mois, et encore !) et me suivre sur mes réseaux sociaux.
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Pas de transcription pour le moment.
Julien GERARD
Julien GERARD
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