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Épisode
24 juin 2025 - 1h 39min
Après notre épisode sur Cypress Hill avec Aketo, nous voici de retour pour continuer dans le même sillage et parler d’un membre du crew de Cypress Hill et DJ Muggs, les Soul Assassins. Et c’est peut être le moins connu d’entre eux dont nous allons parler : les Funkdoobiest. Et...
Après notre épisode sur Cypress Hill avec Aketo, nous voici de retour pour continuer dans le même sillage et parler d’un membre du crew de Cypress Hill et DJ Muggs, les Soul Assassins. Et c’est peut être le moins connu d’entre eux dont nous allons parler : les Funkdoobiest. Et pour se faire, je reçois un invité qui me tient particulièrement à coeur car nous avons eu la chance de se croiser à de multiples occasions différentes ces 20, même 25 dernières années. Il s’agit de Dabaaz du groupe Triptik.Dans mes jeunes années de DJ rappeur manager au début des années 2000, le groupe Triptik était une de mes références principales, autant dans la musique que dans la démarche. Je les ai invité dans mon émission Beat Session à Radio Campus Orléans en 2003 ou 2004, je les ai accompagné à pas mal de concerts dans notre région puis quand le groupe s’est séparé, j’ai pu avoir la chance de travailler avec Drixxxé et Dabaaz sur mon label Nautilus Recordz. On s’est ensuite croisé à l’époque des Poyz N Pirlz, des Can I Kick It, du shop Q Huit et même brièvement à Konbini il y a quelques années. C’était forcément attendu que je puisse recevoir Dabaaz dans ce podcast.Et quand j’ai demandé à Dabaaz quel artiste il aimerait évoqué, il a tout de suite parler de Funkdoobiest, du flegme du rappeur Son Doobie et de l’excellence de leur deuxième album, Brothas Doobie. Une parfaite filiation avec le choix de Cypress Hill pour Aketo, on a l’impression que tout est calculé comme Koma alors qu’il s’agit d’une superbe coincidence et aussi un marqueur de la musique si dense et intense des Soul Assassins au milieu des années 1990. Bien sûr ce choix n’est qu’un point de départ pour de multiples digressions sur la carrière multicasquettes si large de Dabaaz, entre rap, basse, graphisme, soirées, fringues et débrouillardise. Je repense au session studio à Orléans en 2005 et aux discussions qui n’ont presque pas changées. C’est encore une superbe discussion de passionnés qui sont passés par de multiples étapes. Et pourtant tout reste intact. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Après notre épisode sur Cypress Hill avec Aketo, nous voici de retour pour continuer dans le même sillage et parler d’un membre du crew de Cypress Hill et DJ Muggs, les Soul Assassins. Et c’est peut être le moins connu d’entre eux dont nous allons parler : les Funkdoobiest. Et pour se faire, je reçois un invité qui me tient particulièrement à coeur car nous avons eu la chance de se croiser à de multiples occasions différentes ces 20, même 25 dernières années. Il s’agit de Dabaaz du groupe Triptik.
Dans mes jeunes années de DJ rappeur manager au début des années 2000, le groupe Triptik était une de mes références principales, autant dans la musique que dans la démarche. Je les ai invité dans mon émission Beat Session à Radio Campus Orléans en 2003 ou 2004, je les ai accompagné à pas mal de concerts dans notre région puis quand le groupe s’est séparé, j’ai pu avoir la chance de travailler avec Drixxxé et Dabaaz sur mon label Nautilus Recordz. On s’est ensuite croisé à l’époque des Poyz N Pirlz, des Can I Kick It, du shop Q Huit et même brièvement à Konbini il y a quelques années. C’était forcément attendu que je puisse recevoir Dabaaz dans ce podcast.
Et quand j’ai demandé à Dabaaz quel artiste il aimerait évoqué, il a tout de suite parler de Funkdoobiest, du flegme du rappeur Son Doobie et de l’excellence de leur deuxième album, Brothas Doobie. Une parfaite filiation avec le choix de Cypress Hill pour Aketo, on a l’impression que tout est calculé comme Koma alors qu’il s’agit d’une superbe coincidence et aussi un marqueur de la musique si dense et intense des Soul Assassins au milieu des années 1990. Bien sûr ce choix n’est qu’un point de départ pour de multiples digressions sur la carrière multicasquettes si large de Dabaaz, entre rap, basse, graphisme, soirées, fringues et débrouillardise. Je repense au session studio à Orléans en 2005 et aux discussions qui n’ont presque pas changées. C’est encore une superbe discussion de passionnés qui sont passés par de multiples étapes. Et pourtant tout reste intact.
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