Sorry, no results.
Please try another keyword
Épisode
15 mai 2025 - 26min
Dans cet épisode de Bluetooth Connected, je reçois Souki Belghiti. Elle est photographe, réalisatrice, et récemment, elle s’est aventurée dans le documentaire sonore avec un projet intitulé Réverbération, né d’une résidence au Marché Central de Casablanca. On a parlé de ce glissement de l’image vers le son, de la manière dont...
Dans cet épisode de Bluetooth Connected, je reçois Souki Belghiti. Elle est photographe, réalisatrice, et récemment, elle s’est aventurée dans le documentaire sonore avec un projet intitulé Réverbération, né d’une résidence au Marché Central de Casablanca. On a parlé de ce glissement de l’image vers le son, de la manière dont on capte un lieu, des voix, des mémoires, sans forcément chercher à les expliquer ou les mettre en forme. Souki raconte comment, sans formation technique particulière, elle s’est laissée guider par l’intuition, l’écoute, la curiosité, et surtout par les liens qu’elle a su tisser avec les marchands, les passants, les habitués de ce lieu chargé d’histoire. Ce qu’elle partage, c’est aussi une réflexion plus large sur notre rapport à la mémoire, à la transmission, et à cette amnésie partagée qui pèse parfois sur nos récits collectifs. Ensemble, on a questionné la posture du documentariste, l’équilibre fragile entre la technique et la relation, l’attention à l’autre, la responsabilité de faire entendre : sans trahir, sans déformer. C’est une conversation que j’ai voulu simple, posée, comme un espace d’écho à son travail : une manière de prendre le temps, d’écouter autrement, et de faire résonner ce qui nous relie.
Afficher plus
Dans cet épisode de Bluetooth Connected, je reçois Souki Belghiti. Elle est photographe, réalisatrice, et récemment, elle s’est aventurée dans le documentaire sonore avec un projet intitulé Réverbération, né d’une résidence au Marché Central de Casablanca.
On a parlé de ce glissement de l’image vers le son, de la manière dont on capte un lieu, des voix, des mémoires, sans forcément chercher à les expliquer ou les mettre en forme.
Souki raconte comment, sans formation technique particulière, elle s’est laissée guider par l’intuition, l’écoute, la curiosité, et surtout par les liens qu’elle a su tisser avec les marchands, les passants, les habitués de ce lieu chargé d’histoire. Ce qu’elle partage, c’est aussi une réflexion plus large sur notre rapport à la mémoire, à la transmission, et à cette amnésie partagée qui pèse parfois sur nos récits collectifs.
Ensemble, on a questionné la posture du documentariste, l’équilibre fragile entre la technique et la relation, l’attention à l’autre, la responsabilité de faire entendre : sans trahir, sans déformer. C’est une conversation que j’ai voulu simple, posée, comme un espace d’écho à son travail : une manière de prendre le temps, d’écouter autrement, et de faire résonner ce qui nous relie.
Pas de transcription pour le moment.
LES BONNES ONDES
LES BONNES ONDES
Vous devez être connecté pour soumettre un avis.
LES BONNES ONDES