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Épisode
29 juin 2025 - 27min
Le 28 juin 2025, Mike Borowski revenait sur l’acharnement du système contre les dissidents — de la diffamation de Géopolitique Profonde à la mise en examen de Régis de Castelnau — et dévoile pourquoi la répression s’intensifie alors que la peur change de camp.Une stratégie d’écrasement total des voix dissidentesLe...
Le 28 juin 2025, Mike Borowski revenait sur l’acharnement du système contre les dissidents — de la diffamation de Géopolitique Profonde à la mise en examen de Régis de Castelnau — et dévoile pourquoi la répression s’intensifie alors que la peur change de camp.Une stratégie d’écrasement total des voix dissidentesLe système ne débat plus, il veut faire taire. Journalistes, juristes, militaires, humoristes : toute voix discordante est menacée. Régis de Castelnau, poursuivi pour avoir dénoncé l’inaction de l’Éducation nationale après un drame de harcèlement scolaire, illustre cette dérive. Sa critique juridique est criminalisée.Dieudonné vit sous bracelet électronique, Pierre Jovanovic a subi une intervention du RAID, Youssef Hindi est convoqué à répétition. Les morts soudaines du général Delawarde ou d’Éric Denécé, non élucidées, alimentent l’angoisse. Il ne s’agit plus de faits isolés, mais d’une logique de dissuasion : empêcher toute contestation structurée, instiller la peur dans les rangs dissidents.Le pouvoir médiatique-judiciaire déchaînéLe cas de Géopolitique Profonde en témoigne : calomnié par France Télévisions, le média est présenté comme un danger idéologique, sans preuve ni débat. Les grands médias ne cherchent plus la vérité, ils désignent des coupables. Le récit devient à charge, et la justice, un relais de l’intimidation. Informer, questionner, débattre : ces fonctions disparaissent au profit d’une mécanique d’exclusion.Ce climat de fusion entre presse et répression judiciaire crée une terreur symbolique. Ceux qui parlent sont marginalisés, ceux qui écoutent deviennent suspects. Journalistes indépendants, avocats et humoristes sont traités en ennemis de l’ordre public. Le discours d’autorité se dissimule derrière des formules morales : « lutte contre la haine », « défense de la cohésion ». En réalité, c’est la liberté qui est ciblée.La peur change de camp mais la répression s’intensifieCe durcissement révèle une peur profonde : la dissidence gagne du terrain. Elle touche l’opinion, mobilise les imaginaires, forge une contre-société d’information. Le pouvoir perd pied dans le débat public. Incapable de convaincre, il recourt à la contrainte.Mais cette stratégie produit l’effet inverse. Chaque attaque renforce la légitimité des figures visées. Le pouvoir construit, malgré lui, une mémoire collective de la répression. Il unifie une opposition auparavant dispersée. Le front dissident, désormais ciblé collectivement, devient structuré et déterminé.Support the showNe vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.https://geopolitique-profonde.com/
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Le 28 juin 2025, Mike Borowski revenait sur l’acharnement du système contre les dissidents — de la diffamation de Géopolitique Profonde à la mise en examen de Régis de Castelnau — et dévoile pourquoi la répression s’intensifie alors que la peur change de camp.
Une stratégie d’écrasement total des voix dissidentes
Le système ne débat plus, il veut faire taire. Journalistes, juristes, militaires, humoristes : toute voix discordante est menacée. Régis de Castelnau, poursuivi pour avoir dénoncé l’inaction de l’Éducation nationale après un drame de harcèlement scolaire, illustre cette dérive. Sa critique juridique est criminalisée.
Dieudonné vit sous bracelet électronique, Pierre Jovanovic a subi une intervention du RAID, Youssef Hindi est convoqué à répétition. Les morts soudaines du général Delawarde ou d’Éric Denécé, non élucidées, alimentent l’angoisse. Il ne s’agit plus de faits isolés, mais d’une logique de dissuasion : empêcher toute contestation structurée, instiller la peur dans les rangs dissidents.
Le pouvoir médiatique-judiciaire déchaîné
Le cas de Géopolitique Profonde en témoigne : calomnié par France Télévisions, le média est présenté comme un danger idéologique, sans preuve ni débat. Les grands médias ne cherchent plus la vérité, ils désignent des coupables. Le récit devient à charge, et la justice, un relais de l’intimidation. Informer, questionner, débattre : ces fonctions disparaissent au profit d’une mécanique d’exclusion.
Ce climat de fusion entre presse et répression judiciaire crée une terreur symbolique. Ceux qui parlent sont marginalisés, ceux qui écoutent deviennent suspects. Journalistes indépendants, avocats et humoristes sont traités en ennemis de l’ordre public. Le discours d’autorité se dissimule derrière des formules morales : « lutte contre la haine », « défense de la cohésion ». En réalité, c’est la liberté qui est ciblée.
La peur change de camp mais la répression s’intensifie
Ce durcissement révèle une peur profonde : la dissidence gagne du terrain. Elle touche l’opinion, mobilise les imaginaires, forge une contre-société d’information. Le pouvoir perd pied dans le débat public. Incapable de convaincre, il recourt à la contrainte.
Mais cette stratégie produit l’effet inverse. Chaque attaque renforce la légitimité des figures visées. Le pouvoir construit, malgré lui, une mémoire collective de la répression. Il unifie une opposition auparavant dispersée. Le front dissident, désormais ciblé collectivement, devient structuré et déterminé.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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