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Épisode
21 février 2024 - 27min
Source :https://mega.nz/file/WU9QgYqC#1XsiFoxSRdeD2JbV5BVUY5ue9tX4WJ_tzCQweIXVh0cA l'école des SagesJe suis ravie de poursuivre mon exploration en compagnie de mes hôtes et nous voilà tous les cinq en partance vers un lieu que j'ai hâte de découvrir. Le véhicule qui nous y amène ne touche pas le sol, et par bien des cotés je lui...
Source :https://mega.nz/file/WU9QgYqC#1XsiFoxSRdeD2JbV5BVUY5ue9tX4WJ_tzCQweIXVh0cA l'école des SagesJe suis ravie de poursuivre mon exploration en compagnie de mes hôtes et nous voilà tous les cinq en partance vers un lieu que j'ai hâte de découvrir. Le véhicule qui nous y amène ne touche pas le sol, et par bien des cotés je lui trouve beaucoup de similitude avec celui que j'ai eu à emprunter quelque temps auparavant en Atlantide. Aucun bruit, aucune vibration ; le petit engin semble glisser sur l'air de la planète et la sensation en est très agréable. Nos fauteuils semblent se mouler à nos morphologies et cela me donne une impression de stabilité, de sécurité. Il y a huit sièges dans ce véhicule et il est sans capote, le temps doux le permettant aisément. Sur notre route, nous croisons d'autres engins analogues mais aux dimensions, couleurs, formes différentes, avec autant de variété que les voitures sur Terre. Tout à mes réflexions, je ne m'aperçois pas que nous venons de nous arrêter à l'entrée d'un bâtiment aux formes majestueuses. Le matériau dont il est fait semble un mélange de cristal aux nuances irisées. Là encore, il m'est difficile de donner une couleur à ce que je vois. Un arc-en-ciel de couleurs serait plus juste pour décrire ce qui émane de cette construction aux formes limpides surmontée de plusieurs coupoles. En regardant plus attentivement, j'aperçois un peu en arrière, d'autres bâtiments de même style, mais plus petits. L'un d'entre eux est d'une construction plus sobre : de simples colonnes sur lesquelles repose un toit translucide et arrondi, sans porte et sans mur. Un majestueux escalier ivoire permet d'accéder au bâtiment central, tandis que les autres sont reliés au premier et entre eux par des allées dallées de pierres aux multiples couleurs. J'ai la sensation curieuse de marcher sur un tapis vivant de pierres précieuses. L'environnement lui-même est étonnant de beauté. Nous sommes en haut d'une colline et la vue sur la nature s'étend sur des kilomètres. Seules, quelques habitations aux toits ronds sont visibles ça et là, dans ce paysage très pastoral. « Descendez, nous sommes arrivés au collège de sagesse des enfants. Il y en a aussi pour adultes, mais ils ne sont guère très différents d'aspect extérieur. » C'est Djarwa qui, en arrêtant le véhicule, nous fait signe de descendre et de le suivre. La petite famille franchit le portail d'entrée accueillie par... un robot ou quelque chose qui y ressemble. J'ai du mal à parler de robot car celui qui est à la porte du collège ne ressemble en rien à ce que l'on peut voir ou imaginer sur terre. Il a le physique d'un humain mais ses gestes sont plus mécaniques et son langage plus stéréotypé, son regard est un peu froid, vide tel une mécanique bien huilée sous une enveloppe d'humain parfaite. « Nous avons peu de robots sur notre planète contrairement à d'autres planètes du système car nous avons résolu une bonne partie des problèmes techniques qui pourraient être une contrainte pour certains d'entre nous. Nous n'éprouvons donc pas cette nécessité. Ils existent cependant pour ce qui demande des gestes automatiques ou plus mécaniques, mais nous avons aussi beaucoup d'appareils, disons d'ordinateurs pour cela. » Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Source :
https://mega.nz/file/WU9QgYqC#1XsiFoxSRdeD2JbV5BVUY5ue9tX4WJ_tzCQweIXVh0c
A l'école des Sages
Je suis ravie de poursuivre mon exploration en compagnie de mes hôtes et nous voilà tous les cinq en partance vers un lieu que j'ai hâte de découvrir. Le véhicule qui nous y amène ne touche pas le sol, et par bien des cotés je lui trouve beaucoup de similitude avec celui que j'ai eu à emprunter quelque temps auparavant en Atlantide. Aucun bruit, aucune vibration ; le petit engin semble glisser sur l'air de la planète et la sensation en est très agréable. Nos fauteuils semblent se mouler à nos morphologies et cela me donne une impression de stabilité, de sécurité. Il y a huit sièges dans ce véhicule et il est sans capote, le temps doux le permettant aisément.
Sur notre route, nous croisons d'autres engins analogues mais aux dimensions, couleurs, formes différentes, avec autant de variété que les voitures sur Terre.
Tout à mes réflexions, je ne m'aperçois pas que nous venons de nous arrêter à l'entrée d'un bâtiment aux formes majestueuses. Le matériau dont il est fait semble un mélange de cristal aux nuances irisées. Là encore, il m'est difficile de donner une couleur à ce que je vois. Un arc-en-ciel de couleurs serait plus juste pour décrire ce qui émane de cette construction aux formes limpides surmontée de plusieurs coupoles.
En regardant plus attentivement, j'aperçois un peu en arrière, d'autres bâtiments de même style, mais plus petits. L'un d'entre eux est d'une construction plus sobre : de simples colonnes sur lesquelles repose un toit translucide et arrondi, sans porte et sans mur. Un majestueux escalier ivoire permet d'accéder au bâtiment central, tandis que les autres sont reliés au premier et entre eux par des allées dallées de pierres aux multiples couleurs. J'ai la sensation curieuse de marcher sur un tapis vivant de pierres précieuses.
L'environnement lui-même est étonnant de beauté. Nous sommes en haut d'une colline et la vue sur la nature s'étend sur des kilomètres. Seules, quelques habitations aux toits ronds sont visibles ça et là, dans ce paysage très pastoral.
« Descendez, nous sommes arrivés au collège de sagesse des enfants. Il y en a aussi pour adultes, mais ils ne sont guère très différents d'aspect extérieur. »
C'est Djarwa qui, en arrêtant le véhicule, nous fait signe de descendre et de le suivre. La petite famille franchit le portail d'entrée accueillie par... un robot ou quelque chose qui y ressemble. J'ai du mal à parler de robot car celui qui est à la porte du collège ne ressemble en rien à ce que l'on peut voir ou imaginer sur terre. Il a le physique d'un humain mais ses gestes sont plus mécaniques et son langage plus stéréotypé, son regard est un peu froid, vide tel une mécanique bien huilée sous une enveloppe d'humain parfaite.
« Nous avons peu de robots sur notre planète contrairement à d'autres planètes du système car nous avons résolu une bonne partie des problèmes techniques qui pourraient être une contrainte pour certains d'entre nous. Nous n'éprouvons donc pas cette nécessité. Ils existent cependant pour ce qui demande des gestes automatiques ou plus mécaniques, mais nous avons aussi beaucoup d'appareils, disons d'ordinateurs pour cela. »
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Jonathan Livingstone
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