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Épisode
17 juin 2025 - 2h 10min
Joaquim Braz de Oliveira voulait juste aider son père. Il l’a fait. Il a repris Forcado, un lien iconique à Bruxelles pour les pastéis de nata. Et il l’a fait passer à 2 millions d’euros de chiffre d’affaires.Après un burn out dans le conseil, Joaquim décide de rejoindre Forcado, la pâtisserie portugaise...
Joaquim Braz de Oliveira voulait juste aider son père. Il l’a fait. Il a repris Forcado, un lien iconique à Bruxelles pour les pastéis de nata. Et il l’a fait passer à 2 millions d’euros de chiffre d’affaires.Après un burn out dans le conseil, Joaquim décide de rejoindre Forcado, la pâtisserie portugaise familiale.Pas pour quelques mois, pas pour dépanner.Mais parce que ça faisait sens. Parce qu’il en avait besoin.Il s’associe alors à 50/50 avec Loic Henon, avec qui il partage la même exigence, la même vision.Sans Loïc, rien n’aurait été possible. Ensemble, ils ont porté la transformation de Forcado.Et tout au long de l’aventure, son père est resté une pierre angulaire : présent pour superviser, coacher, contrôler la qualité, épauler sur la logistique, la vente et les relations avec les clients.Pendant près de dix ans, il repense les bases : l’équipe, les process, la production, l’identité.La reprise n’a pas été simple à faire accepter : confier les rênes à quelqu’un qui n’était pas de la famille, c’était un vrai changement. Mais Joaquim a réussi à convaincre. Il savait pourquoi il le faisait.Pas de levée de fonds. Pas de storytelling de startup.Juste une attention permanente sur la qualité.En 2024, ils revendent. Aucun regret.Dans cet épisode, il raconte :les signaux faibles d’un burn out et comment il s’en est relevéle moment où il a senti qu’il fallait changer de voiecomment il a repris la main sur une entreprise familiale… sans (trop) s’y perdreles coulisses d’une croissance organique jusqu’à 2 millions de chiffre d’affairesce que ça implique de vendre un produit concret, avec une équipe et un lieu physiquepourquoi il a décidé de revendre, et ce qu’il retient de cette décisionUn épisode sincère sur la transmission, l’engagement, et la belle histoire d’une entreprise familiale qui a su évoluer sans se trahir.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram. J'y poste des conseils et infos pratiques pour indépendant·e·s.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Joaquim Braz de Oliveira voulait juste aider son père. Il l’a fait.
Il a repris Forcado, un lien iconique à Bruxelles pour les pastéis de nata.
Et il l’a fait passer à 2 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Après un burn out dans le conseil, Joaquim décide de rejoindre Forcado, la pâtisserie portugaise familiale.
Pas pour quelques mois, pas pour dépanner.
Mais parce que ça faisait sens. Parce qu’il en avait besoin.
Il s’associe alors à 50/50 avec Loic Henon, avec qui il partage la même exigence, la même vision.
Sans Loïc, rien n’aurait été possible. Ensemble, ils ont porté la transformation de Forcado.
Et tout au long de l’aventure, son père est resté une pierre angulaire : présent pour superviser, coacher, contrôler la qualité, épauler sur la logistique, la vente et les relations avec les clients.
Pendant près de dix ans, il repense les bases : l’équipe, les process, la production, l’identité.
La reprise n’a pas été simple à faire accepter : confier les rênes à quelqu’un qui n’était pas de la famille, c’était un vrai changement. Mais Joaquim a réussi à convaincre. Il savait pourquoi il le faisait.
Pas de levée de fonds. Pas de storytelling de startup.
Juste une attention permanente sur la qualité.
En 2024, ils revendent. Aucun regret.
Dans cet épisode, il raconte :
les signaux faibles d’un burn out et comment il s’en est relevé
le moment où il a senti qu’il fallait changer de voie
comment il a repris la main sur une entreprise familiale… sans (trop) s’y perdre
les coulisses d’une croissance organique jusqu’à 2 millions de chiffre d’affaires
ce que ça implique de vendre un produit concret, avec une équipe et un lieu physique
pourquoi il a décidé de revendre, et ce qu’il retient de cette décision
Un épisode sincère sur la transmission, l’engagement, et la belle histoire d’une entreprise familiale qui a su évoluer sans se trahir.
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Thimothée Remy
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