Les Secrets du crime

En septembre 2024, s’est ouvert le procès des viols de Mazan. 51 accusés comparaissaient devant la cour criminelle du Vaucluse pour avoir violé et agressé sexuellement une victime de 72 ans qui était inconsciente au moment des faits. Tout a été organisé par son époux, Dominique Pélicot, qui a été condamné à 20 ans d’emprisonnement au terme de plusieurs mois de procès. Pendant des années, il a soumis chimiquement son épouse avec des médicaments avant d’inviter des inconnus au domicile du couple et leur permettre d’abuser d’elle.

En septembre 2024, s’est ouvert le procès des viols de Mazan. 51 accusés comparaissaient devant la cour criminelle du Vaucluse pour avoir violé et agressé sexuellement une victime de 72 ans qui était inconsciente au moment des faits. Tout a été organisé par son époux, Dominique Pélicot, qui a été condamné à 20 ans d’emprisonnement au terme de plusieurs mois de procès. Pendant des années, il a soumis chimiquement son épouse avec des médicaments avant d’inviter des inconnus au domicile du couple et leur permettre d’abuser d’elle.

Depuis le 24 février 2025, devant la cour criminelle du Morbihan, Joël Le Scouarnec est jugé pour des faits de violences sexuelles sur enfants. Ce chirurgien qui a toujours eu une bonne réputation a réussi à berner tout son entourage pendant plus de trente ans. Il a sévi partout autour de lui, chaque fois qu’il pouvait profiter d’un enfant : à l’hôpital, sur ses petits patients, sur ses nièces, sur une voisine… Il consignait toutes les horreurs qu’il commettait par écrit puis dans des tableaux numériques appelés les « carnets noirs ». C’est un seul signalement qui a permis de les découvrir et d’identifier plus de 300 victimes. Illustration : Benoit PEYRUCQ.

Depuis le 24 février 2025, devant la cour criminelle du Morbihan, Joël Le Scouarnec est jugé pour des faits de violences sexuelles sur enfants. Ce chirurgien qui a toujours eu une bonne réputation a réussi à berner tout son entourage pendant plus de trente ans. Il a sévi partout autour de lui, chaque fois qu’il pouvait profiter d’un enfant : à l’hôpital, sur ses petits patients, sur ses nièces, sur une voisine… Il consignait toutes les horreurs qu’il commettait par écrit puis dans des tableaux numériques appelés les « carnets noirs ». C’est un seul signalement qui a permis de les découvrir et d’identifier plus de 300 victimes. Illustration : Benoit PEYRUCQ.

Mardi dernier, on apprenait la dernière avancée de l’enquête dans la mort du petit Émile âgé de 2 ans. Quatre membres de sa famille ont été placés en garde à vue. Il s’agit plus précisément de ses deux grands-parents maternels ainsi que d’un oncle et d’une tante. Tous les quatre étaient présents au moment de sa disparition le 8 juillet 2023. Cependant, les gardes à vue ont été levées jeudi matin, soit près de 48h plus tard. Le procureur de la République a expliqué qu’aucun indice ne permettait, en l’état actuel des investigations, de procéder à une mise en examen. En conférence de presse, le procureur a également partagé certains résultats d’expertises pratiquées sur les ossements du petit garçon découverts il y a près d’un an. Pourquoi cette libération ? La piste criminelle s’impose-t-elle ou bien l’enfant a pu être victime d’un accident ? Explications dans cet épisode des Secrets du crime.

Mardi dernier, on apprenait la dernière avancée de l’enquête dans la mort du petit Émile âgé de 2 ans. Quatre membres de sa famille ont été placés en garde à vue. Il s’agit plus précisément de ses deux grands-parents maternels ainsi que d’un oncle et d’une tante. Tous les quatre étaient présents au moment de sa disparition le 8 juillet 2023. Cependant, les gardes à vue ont été levées jeudi matin, soit près de 48h plus tard. Le procureur de la République a expliqué qu’aucun indice ne permettait, en l’état actuel des investigations, de procéder à une mise en examen. En conférence de presse, le procureur a également partagé certains résultats d’expertises pratiquées sur les ossements du petit garçon découverts il y a près d’un an. Pourquoi cette libération ? La piste criminelle s’impose-t-elle ou bien l’enfant a pu être victime d’un accident ? Explications dans cet épisode des Secrets du crime.

Depuis ce début d’année, le nom d’un institut catholique privé est au cœur de l’actualité : Bétharram. D’anciens élèves dénoncent les sévices qu’ils y ont subis mais également les violences sexuelles dont ils ont été victimes. Malgré des alertes dès les années 60, un silence pesant a permis de protéger l’institution et, plus largement, l’Eglise catholique. Il aura fallu un article publié par Mediapart en février 2025 affirmant que l’actuel premier ministre, François Bayrou, était au courant des faits de pédophilie depuis plus de vingt ans sans jamais les dénoncer pour que l’affaire prenne de l’ampleur. Aujourd’hui, au total, plus de cent plaintes ont été déposées contre des membres du personnel de l’école. Retour sur la chronologie du scandale entourant l’institution Notre-Dame-de-Bétharram.

Depuis ce début d’année, le nom d’un institut catholique privé est au cœur de l’actualité : Bétharram. D’anciens élèves dénoncent les sévices qu’ils y ont subis mais également les violences sexuelles dont ils ont été victimes. Malgré des alertes dès les années 60, un silence pesant a permis de protéger l’institution et, plus largement, l’Eglise catholique. Il aura fallu un article publié par Mediapart en février 2025 affirmant que l’actuel premier ministre, François Bayrou, était au courant des faits de pédophilie depuis plus de vingt ans sans jamais les dénoncer pour que l’affaire prenne de l’ampleur. Aujourd’hui, au total, plus de cent plaintes ont été déposées contre des membres du personnel de l’école. Retour sur la chronologie du scandale entourant l’institution Notre-Dame-de-Bétharram.

Le samedi 8 juillet 2023, le petit Émile âgé de 2 ans disparaît au Vernet, commune située dans les Alpes-de-Haute-Provence, alors qu’il passait les vacances dans la maison de ses grands-parents. Après des mois de recherches infructueuses, les ossements du petit garçon sont découverts par une randonneuse à 2 kilomètres du lieu où il a été vu pour la dernière fois. Alors que l’instruction est toujours en cours, le mardi 25 mars 2025, quatre membres de la famille du petit garçon sont placés en garde à vue : les grands-parents maternels ainsi qu’un oncle et une tante. Retour sur les débuts de cette affaire ainsi que les dernières avancées de l’enquête.

Le samedi 8 juillet 2023, le petit Émile âgé de 2 ans disparaît au Vernet, commune située dans les Alpes-de-Haute-Provence, alors qu’il passait les vacances dans la maison de ses grands-parents. Après des mois de recherches infructueuses, les ossements du petit garçon sont découverts par une randonneuse à 2 kilomètres du lieu où il a été vu pour la dernière fois. Alors que l’instruction est toujours en cours, le mardi 25 mars 2025, quatre membres de la famille du petit garçon sont placés en garde à vue : les grands-parents maternels ainsi qu’un oncle et une tante. Retour sur les débuts de cette affaire ainsi que les dernières avancées de l’enquête.